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Omer Eriksson
Omer Eriksson
Date d'inscription : 29/01/2021
Messages : 44
ft. : Kostja Ullmann
Crédits : Gilvert

Feuille de personnage

Disponibilité RP
: Non Libre
Omer Eriksson
Citoyen de Mystown



Ven 29 Jan - 15:59
Omer Eriksson
Last Man Standing Keeps the Scores
feat. Kostja Ullmann
crédits : Gilvert
☒ Âge : 30 ans
☒ Race : Humaine
☒ Nationalité : : Américain, mère d’origine Turque
☒ Profession / études : Études : aucune. Profession : Ouvrier
☒ Orientation : Compliquée. Pansexuel, présentement sans intérêt pour ces domaines.
☒ Etat civil : célibataire.
☒ Situation financière : Pas enviable
☒ Objectif de vie : Survivre, et peut-être reprendre sa vie en main.
Anecdotes
-A un anneau dans l’oreille
-A plusieurs tatouages. Les plus visible est une blatte sur son cou, et le motif tribal sur son avant-bras droit.
-Adore porter de la foururre
-Son prénom a été un rude compromis pour sa mère
-Il n’a jamais remis les pieds dans un parc d’attraction ou une fête foraine après son treizième anniversaire
-Incapable d’aimer depuis la perte de l’amour de sa vie
-Entretien une correspondance minimale avec sa mère
-Flemmard
-Est devenu clean à sa rencontre avec Nina
Who am I ?
Loquace et même pipelette; dévoué; naïf; prompt, mais tout de même un peu lent à la détente; énergique et social. C'était le gamin qu'il avait été.  Façonné à quatre mains avec patience, comme un vase de céramique sur un tour. Peint avec affection aux couleurs préférées de ses parents.  Une céramique qui devait avoir un défaut inhérent, car elle explosa à la cuisson pour ne laisser qu'une mosaïque des traits qui lui étaient destinés et de leurs revers.  Lorsque tout avait basculé pour lui, Omer avait perdu confiance en le monde qui l'entourait et s'était refermé sur lui-même.
Il était devenu muet.  D'abord par réflexe, puis davantage et davantage encore par choix. Il restait dévoué à sa cause, lorsqu'il en glanait une par hasard ou par conviction, ainsi qu'aux rares proches qui avaient pu mériter son estime.  Sa naïveté infantile avait fait place à un cynisme adolescent qui ne devait être qu'une phase, selon les prières de sa mère.  Elle fut entendue, car le cynisme laissa sa place, en grande partie du moins, à une paranoïa qui contribuait à le cloîtrer a l'intérieur de lui-même. Il était resté prompt, ce que la prise de stéroïdes ne venait pas arranger, démultipliant même la hargne qu'il cultivait contre ce monde pourri.  Malheureusement, il ne s'était pas miraculeusement découvert un génie insoupçonné, ce qui étiola prématurément sa carrière scolaire, et sa vitalité d'antan alternait désormais avec des ères de torpeur où il n’était plus qu’un cadavre respirant, à peu de choses près.

Once upon a time
Originaire du Maine, Gus Eriksson avait rencontré Selen à New York. Rapidement, ils s’étaient installés au New Jersey, n’ayant pas les moyens de vivre de l’autre côté de l’Hudson,e et avaient eu un fils ensemble. Omer vécut une enfance normale, si vous le lui demandez.  Ils allaient parfois voir ses grands-parents dans leur village étrange dont il avait du mal à se souvenir de ce qu’ils y avaient fait. Il sautait souvent le petit-déjeuner, faute de pain et de céréales dans la penderie, et jouait avec des potes triés sur le volet, dans les ruelles de leur pâté d’appartements.  La pauvreté était partout autour de lui, mais il ne la voyait pas, se contentant d'exister et de s'amuser, en respectant les mises en gardes nombreuses de ses parents, qui décidaient du lieu, du moment et des amis qu'il pouvait fréquenter.  Rentrer avant la nuit, ne jamais être seul, ce genre de règles que tous les parents ont, mais qui avaient ici un sens différent.  Comme si c'était une question de vie ou de mort.  S'il réussissait à se faire ami de la plupart des élèves, et apprécié des professeurs qui ne s'arrêtaient pas à ses notes cataclysmiques, cela ne l'avait pas immunisé pas contre les remarques racistes et les insultes de tous acabits.  D'un côté, sa mère lui interdisait de rétorquer à de telles attaques, et de l'autre son père le sommait de leur répondre, ce qui était davantage du goût du gamin qui pouvait réciter en détail la différence entre un turc, un perse ou un arabe, ou pourquoi l'école n'était pas une mesure universelle de l'intelligence, ou encore...  Bref, Omer était un gamin bavard et, heureusement pour lui, charmant, qui répétait à peu près tout ce qu'il entendait dire, sans forcément le comprendre ni le maîtriser. 

Depuis le temps, ses arguments avaient évolué en quatre phalanges et un mouvement de piston.

Au High school, les choses s'étaient corsées davantage.  De véritables bandes y régnaient, et Omer n'avait ni la permission, ni l'intérêt de rejoindre l'une d'entre elles.  Il s'occupait de ses affaires, jouait au basket et au foot avec ses potes, ne restait pas forcément discret, mais savait éviter les situations fâcheuses malgré sa répartie et son humour qui dissipaient parfois la concentration dans les salles de cours.  Seulement parfois...  Toujours était-il que ses notes se dégradaient et dégringolaient alors qu'il ne comprenait aucunement ce que pourrait lui apporter dans la vie de savoir trouver X ou d'apprendre l'histoire du moyen-âge.  La politique et l'histoire actuelles étaient déjà bien suffisamment complexes et ennuyantes à son goût!

C'était également l'âge où il commençait à remettre l'autorité parentale en question et à la défier, comme tout adolescent normal. Il dépassait le couvre-feu de quelques minutes, peut-être une demi-heure, simplement pour embêter ses parents, sans réaliser qu'il les angoissait bien plus qu'autre chose.  Parfois cela lui permettait de justifier son prétendu sentiment d'injustice alors que ses amis se vantaient d'avoir des privilèges qu'il n'avait pas. Et il n'en avait que faire de ses parents qui se justifiaient de travailler énormément afin de pouvoir payer les médicaments pour les problèmes cardiaques de Gus.  Et la première promesse du père revenait fréquemment sur ses lèvres, comme une ritournelle que le gamin n’oublierait jamais : ”Je veillerai toujours sur toi, fiston.”  Comme si, à son vénérable âge d’adolescent, Omer pourrait avoir besoin d’un protecteur.

Alors qu’ils rentraient de Coney Island, le drame  frappa, taisant à jamais la logorrhée du garçon.  Ce soir-là, le destin vint renverser Gus sous la forme d'une voiture qui termina sa course contre un lampadaire, sous les yeux d’Omer.  Sa voix fut enterrée par le cri de sa mère, par les crissements des pneus, par l'impact de la tôle sur l'acier, par le choc du réverbère au sol, par les éclats de verre qui fusèrent.  Par le sang paternel qui coulait en silence. Par les sanglots maternels, agenouillés sur un corps inerte avec la tendresse du désespoir.  Par le noeud au ventre qui asphyxiait le fils surconscient de la scène.  Par les voisins qui glissaient sur leur balcon, en pantoufle, pieds nus, en bigoudis, et murmuraient par-dessus les rambardes des prières et des interrogations, des accusations et des oraisons prématurées.  Par une portière qui claqua un long moment plus tard, laissant entrevoir un homme ensanglanté à la chemise débraillée, la démarche chaloupée, et duquel émanait une intense odeur d'alcool. Les premiers mots se perdirent dans le silence de cette éternité figée.
“...accident.  Je vous avais pas vu.  Je suis désolé ma p'tite dame.”
Des sirènes retentirent et tous les témoins, tous les écornifleux, disparurent d'un même mouvement à l'intérieur de leur appartement.  Le chauffard fut englouti par la voiture de police en un rien de temps, avant que la veuve et son fils ne s'embarquent eux-mêmes à l'intérieur d'une ambulance qui ne se dirigeait pas vers l'hôpital. Mme Rosenberg, la voisine de pallier, leur offrit son hospitalité, et le petit carré voulut se cotiser pour aider Mme Eriksson, si elle désirait poursuivre le criminel en justice. Les balcons, les corridors, tout le voisinage pépiait son soutient.

Tous ces gazouillis étourdissaient Omer, qui se sentait  impuissant et coupable, et s'enfermait dans un silence morose.
À l'école, on se montra rempli de compassion et de soutien, pour quelques jours.  Puis on commença à questionner le silence du garçon.  Des professeurs suggérèrent la rencontre d'un psychologue, des étudiants commencèrent aussi à se demander pourquoi il ne disait plus rien.  On crut le taquiner, on ne voulut pas à mal, mais le vendredi suivant, le couvercle sauta.

Omer n'avait pas la moindre idée de qui avait poussé le bouchon trop loin.  Qui avait passé le commentaire de trop. Il s'était retourné sur un phrase sitôt oubliée, avec la rage pour seul motif, et s'était élancé sur le profanateur sans le voir. Il s'était rué vers lui et l'avait bousculé sans le reconnaître.  Même une fois agenouillé sur sa victime, il ne réalisait pas de qui il s'agissait.  Avec la hargne comme unique moteur, le poing d'Omer se souleva automatiquement et plongea sans retenue dans une côte de celui qui, anonyme, se débattait.  Chaque fois que son poing percutait le gamin, c'était comme si un masque tombait et qu'il prenait un nouveau visage, prononçant une nouvelle insulte, un nouveau quolibet qu'Omer ne croyait pas avoir retenus, mais qui lui revenaient tous en mémoire comme les marées de larmes qui lui faisaient perdre pied à chaque ressac et brouillaient les masques au rythme où ils s’affichaient.  On répondit à ses coups par des coups, et on finit par séparer les deux fauteurs de trouble. La main en sang, éclatée sur le carrelage lorsqu'il avait raté sa victime, des contusions plein le visage, Omer fut transporté au bureau du principal avant de se retrouver à l'infirmerie où sa mère apparut éventuellement, en crise de larmes et d'implorations divines, ce qui était d'autant plus rare qu'elle était athée.  Elle le sermonna, le houspillant de savoir ce qui lui avait pris, se montra insatisfaite de la réponse et le bouscula davantage, indélibérément, dans la fosse de son silence.  Elle n'avait pas élevé son fils à répondre à des imbécilités de cours d'école, des moqueries d'étudiants.  Elle avait bien trop à faire avec les funérailles de Gus pour avoir du temps à perdre avec les conneries de son fils.  Elle n'avait pas élevé un animal.  Qu'est-ce qui lui avait pris?  L'autre jeune homme n'avait certainement pas mérité tout ça.  Les poings d’Omer se crispèrent d'eux-mêmes, mais il ne bougea pas.  Est-ce que Gus avait fait quelque chose pour mériter son destin?  Il ne verbalisa pas son interrogation et se cloîtra dans un nouveau silence, plus dense et opaque.  Est-ce que Selen ou Omer avaient mérité ce qui leur arrivait?  La vie était injuste : pourquoi ne devrait-il pas l'être également?
Quelques semaines après le drame, Omer avait retrouvé sa mère effondrée devant une lettre, sur la table de la cuisine.  Il lui avait promis de surveiller son comportement, et avait fait attention à ne plus sortir de ses gonds, et voulait réellement tenir sa promesse.  Il s'approcha d'elle pour la réconforter, habitué à ses désormais fréquentes crises de larmes.
"Mom..."
Omer lui caressa le dos avec tout l'amour d'un fils pour sa mère, et ses yeux tombèrent par hasard sur la lettre.  Il s'agissait d'une mise en demeure.  Selen était sommée par les avocats du capitaine Monroe de révoquer la poursuite à l'encontre de leur client, sans quoi ils se verraient dans l'obligation de la poursuivre à leur tour pour diffamation.  Le capitaine Monroe étant un membre fortement respecté des forces de l'ordre, ainsi qu'un citoyen apprécié par sa communauté, il était hors de question que l'on vienne ainsi entacher sa réputation.  En signant l'acceptation de révocation de sa plainte, ils s'engageaient à lui signer un chèque au montant de... Omer étira le bras pour tourner la page, mais Selen aperçut son geste et réalisant qu'il venait de lire l'injonction, interrompit son mouvement avec désespoir.

"Değil! Ne lis pas ça, Omer! Ce sont des affaires de grandes personnes, ça ne te concerne pas."

Mais il avait compris.  Il comprenait que cet homme qui avait détruit la vie de son père offrait de payer pour acheter le silence de sa mère et ainsi l'empêcher de détruire sa propre vie.  Parce qu'il était un flic, il pouvait se permettre de rouler sur qui bon lui semblait sans conséquences outre qu'une somme qui ne serait jamais suffisante pour ramener le père qu'Omer avait perdu.  Le pire, c'était qu'il savait que sa mère n'avait d'autre choix que d'accepter l'insulte de cette misérable et ridicule compensation.

Le lendemain soir, il brisait déjà sa promesse. Un cocktail molotov sur le poste du quartier, et il parvint à se cacher malgré que son plan ait échoué. Si le corps policier ne le trouva pas, Selen comprit en lisant le journal du lendemain le lien entre la bouteille de Raki manquante et son absence de la veille. Suite à une longue dispute, Omer offrit de se trouver un emploi, pour soutenir sa mère. Trop jeune, il y eut du mal, jusqu’à ce qu’un voisin lui demande de l’aider à réparer sa voiture. Puis il aida une voisine à peindre son salon. Tout ça ne payait pas des masses, et il se mit à fouiller dans les casiers de ses collègues de classe, imprudents qui ne les verrouillaient pas, pour subtiliser quelques billetssans se faire prendre.  Jamais de grosses sommes, ils n'était pas fou, non plus.  C'étaient ses premiers larcins.

Et ce n'est qu'à quinze ans, alors qu'il commençait à trop prendre confiance en soi, qu'il fut prit la main dans le sac, au gym du quartier où il était concierge.  Il fut renvoyé sur le champ et, comble de malchance, une enquête interne fut amorcée.  Avec ce dossier, incluant son adresse, on alla voir la police, qui procéda à son arrestation.  Il ne passa que deux nuits au poste, sa mère s'étant ruinée pour payer sa caution.  Heureusement pour lui, c'était son premier délit, et comme il était encore mineur, on fut clément, mais un dossier le suivait désormais.  Selen n'essaya même pas de le gronder, ou de le sermonner.  Elle était démolie de savoir que son fils était devenu un vaurien.  Omer abandonna l'école peu de temps après, et tomba dans un cycle de violence dont il était voué à ne jamais ressortir.  C'est au cours de l'une de ces rixes qu'on lui trancha l'abdomen.

Heureusement pour lui, la blessure était superficielle malgré l'abondance de sang, et il rentra sur le palier en clopinant.  Mme Rosenberg l'y trouva en piteux état et alla l'allonger chez elle avant de téléphoner à Selen.  Lorsqu'il revint à lui, Omer crut voir double.  Sa mère était à son chevet, accompagnée de sa sœur. Demet était infirmière et l’avait soigné avec ce qu’elle avait sous la main. Bien qu’elle leur ait épargné une facture médicale salée, Omer n'aimait pas sa tante Demet. Elle portait des vêtements de bourgeois, et avait ce petit quelque chose de condescendant dans le regard.  Elle avait beau dire, ça ne lui faisait clairement pas plaisir de se retrouver là.

Le billet déposé sur la table de la cuisine, Omer retourna au gym du mois. Il changeait souvent, à la fois pour profiter des périodes d'essai gratuites et pour que ses petits méfaits n’aient pas le temps d’attirer l’attention sur lui. Puis, ça lui faisait un bassin illimité de partenaires potentiels à raccompagner.  Lorsqu’il rentra ce soir-là, Selen dormait déjà.  Le ticket était désormais sur le frigidaire, maintenu en place par un aimant en forme de super-héros qui datait de l’enfance du métis.  Le jeune homme soupira ostensiblement avant de laver ses mains dans l’évier de la cuisine, de s'engouffrer dans sa chambre et de tomber comme une bûche dans les bras de Morphée.
Le lendemain matin, Omer s'efforça de s'extirper de son lit aux aurores en entendant Selen farfouiller dans la cuisine. La voix et l'humeur rauques, le jeune adulte déambula dans la pièce principale en boxers.
Anne, tu vas pouvoir t’installer à Philadelphie.”
Son boulot de compagnon lui avait permis d’économiser pour le billet de train. Il s’était arrangé avec sa tante Demet, qui hébergerait sa sœur, pour trouver un emploi à Selen, là-bas. Ni Selen ni Omer n’était en mesure de prendre soin de la femme qui se battait depuis des années contre la dépression. Le fils d’une vingtaine d’année avait pris sa décision : il n’était qu’un poids et un tourment pour sa mère. Il valait mieux qu’il soit loin d’elle plutôt que de lui attirer toujours des soucis supplémentaires. Dans les sept années qui suivirent, il la revit de moins en moins souvent. Chaque fois, elle semblait aller mieux que la précédente, jusqu’à ce qu’il ne fasse une bêtise et que Selen ne dégringole à nouveau.

Habitué à traîner dans les bars, c’est là qu’il avait rencontré Nina. Suite à une bagarre, elle était venue lui parler. Moqueuse, elle semblait intriguée par le bagarreur silencieux. Elle voulait savoir ce qu’il l’avait poussé à défendre la cliente harcelée par un autre client. Omer ne s’était contenté de répondre que par des signes de têtes, jusqu’à ce que Nina ne lui demande s’il était une sorte de vigilante. Après un éclat de rire, il la gracia d’un "non". Quelques minutes plus tard, il rentra chez lui sans avoir dit un second mot.

Nina semblait déterminée. Elle l’avait retrouvé à quelques reprises, et petit à petit avait réussi à forer sa coquille. Elle avait réussi à lui faire échanger leurs numéros, et quelques mois plus tard, il rencontrait la famille hétéroclite de la jeune femme russophone. Il finirait par les apprécier, et vivre avec eux, pendant quatre ans. Puis, un Noël, Nina lui confessa être enceinte, et ils décidèrent d’attendre un peu avant de le confier également à leurs familles. Sauf que Nina subit des complications médicales lors de son service au restaurant où elle bossait, et arriva trop tard à l’hôpital. Omer ne dit jamais à qui que ce soit qu’il avait perdu un fils se jour-là, et regretta plus que jamais de ne pas s’être marié à son ange.

Omer avait déposé une rose rouge et un oeillet blanc sur la tombe de Nina, puis il était parti. Il avait fait ses adieux à cette belle-famille qui avait bien voulu de lui, et avait roulé vers le Nord. C’est en voyant un panneau indiquant Mystown que de vagues souvenirs d’enfance lui revinrent en mémoire.  Ce n’était pas là que son père était né? Sous l’impulsion du moment, il prit la route s’y dirigeant. Les souvenirs d’anomalies et de gens tirés directement de contes de fées semblant s’immiscer dans son crâne.

Pouvoirs et maîtrise
Des années de combat de rue lui ont permis de développer une technique efficace à défaut d’être élégante ou professionnelle. Il se tire généralement haut la main lors de combats contre des humains, usant de sa stature et sa taille à son avantage.
Touche-à-tout, il est manuel et sait effectuer toutes sortes de travaux sur une voiture ou une maison. Cela lui a souvent permis d’économiser quelques dollars.
En tant qu'humain, il ne possède aucun pouvoir particulier outre que ses aptitudes personnelles.
Derrière l’écran
☒ Prénon/puff : Gilvert. Pas Gilbert.
   ☒ Âge : Plus vieux que le parrain.
   ☒ Présence : Hebdomadaire?
   ☒ Parrain : Jake avec le paquet de voyelles à la suite.
   ☒ Autre : Bonjour! Je pense que j'ai brisé le code  Cool
- TWIZZLE019
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William Scarlett
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William Scarlett
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Ven 29 Jan - 16:11
Bienvenue à Mystown !
Viens-donc défaire tes bagages, Prénom !
Notre premier humain ! Et content de te voir parmi nous Omer Eriksson 2070864999 Le conseil de la ville va se pencher sur te demande et revenir vers toi très rapidement. En attendant voici un peu de lecture.

Te voilà fraîchement débarqué à Mystown, brave voyageur. Néanmoins la ville et ses secrets peuvent parfois sembler impénétrables ; voici donc quelques liens et astuces qui devraient te faciliter la tâche :

◊ Si ce n’est pas déjà fait, il te faudra impérativement passer par la lecture et la signature du règlement, mesure incontournable pour la validation.

◊ Le contexte et les annexes du forum devraient se révéler d’une grande aide pour la rédaction de ta présentation. Elles te permettront de mieux cerner la ville et ses environs.

◊ N’oublie pas de vérifier la jouabilité de ton avatar sur les bottins. Il serait dommage de se retrouver avec un.e jumeau.elle imprévu.e au scénario !

◊ Si tu n’as toujours pas d’idées de personnage, tu peux te tourner vers les scénarios des autres membres, cela devrait faire des heureux.

◊ Une fois que tu en seras venu à bout de cette fiche, n’oublie pas de nous faire signe sur ce sujet !

Tu disposes désormais d’une semaine pour terminer de remplir la paperasse administrative, sans quoi tu serais considéré comme déserteur. Tu peux néanmoins demander un délais supplémentaire si tu juges avoir besoin de plus de temps. Bien entendu, l’ensemble du staff se trouve à ta disposition en cas de questions ou d’incertitudes, tu es libre d’en contacter les membres par MP ou bien directement sur ce sujet.

A présent, c’est à ton tour de briller !

- TWIZZLE019
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Robyn J. Thorn
Omer Eriksson 7bb993309f5fc1ec51ed794d90b262764e29264cr1-250-141_00
Date d'inscription : 30/06/2018
Messages : 85
Pseudo : Twizzle
ft. : Vanessa Morgan
Crédits : Twizzle

Feuille de personnage

Disponibilité RP
: Non Libre
Robyn J. Thorn
Graphiste ☆ fée-pachier



Ven 29 Jan - 17:42
Hello, bienvenue sur le forum ! Smile
(Je pe permets juste de placer que les crédits, c'est pour créditer l'auteur de ton avatar Omer Eriksson 2918589745 )
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William Scarlett
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William Scarlett
Compte administrateur



Ven 29 Jan - 18:09
✔ Présentation validée !
Bienvenue officiellement dans la communauté !
Te voici enfin validé Omer Eriksson 2018284875 Un chouette personnage, un humain qui est devenu un coup de cœur en lisant sa fiche. Il trouvera sans mal sa place dans notre communauté Omer Eriksson 2070864999

Tu comptes désormais officiellement parmi les citoyens de Mystown, {prénom}, il nous tarde de pouvoir suivre tes épopées au sein de la ville ! Néanmoins l’intégration n’est pas toujours une tâche aisée - et quelques formalités supplémentaires sont à prévoir.


Navigation rapide :

◊ Il est très important de commencer par recenser ton personnage dans les différents bottins du forum !

◊ Nous te recommandons fortement de poster fiche de lien et fiche de RP pour une meilleure visibilité auprès des joueurs. Ces fiches sont à tenir à jour.

◊ Tu peux également commencer par poster des demandes générales de liens et de rp pour faciliter ton intégration dans l’aventure.

◊ N'oublie pas de remplir tous les champs de ton profil, sans oublier la création de ta fiche de personnage !

◊ Dans la section demandes générales tu pourras obtenir un rang personnalisé, un logement ou encore un lieu particulier. C’est aussi ici que se formuleront les autres demandes - comme les changements de factions ou second comptes.

◊ Si tu manques de ressources graphiques, saches que MT propose son propre libre service. Attention cependant à bien en respecter les règles !

◊ Enfin, si tu as des questions ou suggestions à nous soumettre, tu peux à tout moment poster dans les questions. Le staff est également présent par MP !

Tu possèdes désormais toutes les clefs de la réussite , il ne tient plus qu’à toi d’entrer dans la légende de Mystown. Qui sait, peut-être un jour auras-tu une statue à ton effigie sur la place publique ?

Bon courage et à très vite !
- TWIZZLE019
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