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Duel céréalier
Omer Eriksson
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Omer Eriksson
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Ven 12 Fév - 3:13
Koda ₰ Duel Céréalier



Omer n’était pas installé à Mystown depuis bien longtemps, et il en était toujours à trouver ses repères. Il s’était trouvé un boulot de videur qui, à défaut d’être dans sa ligne habituelle, lui permettrait de payer son loyer.  Loyer qui se situait dans un quartier un peu sombre de la ville. Pauvre et douteux, comme il en avait l’habitude depuis sa plus tendre enfance. Les mauvais quartiers, ou les quartiers mal famés, comme se plaisaient à les nommer les bourgeois, étaient son pain et son beurre. Il n’y avait que là qu’on ne pouvait réellement vivre et être soi-même. Rencontrer de vrais gens, avec de vraies histoires et de vrais problèmes. Bref, il avait emménagé dans le quartier le moins cher parce que c’était là qu’il avait les moyens de se loger, et il tentait de se convaincre que c’était également là qu’il serait le plus heureux.

L’étranger commençait donc à connaître la ville, doucement, et s’était déjà abonné à un premier gym. Ça deviendrait rapidement un problème, ici : il n’y avait pas du tout autant de choix qu’à New York, et il devrait faire bien davantage attention si il voulait poursuivre ses maigres larcins. Il avait également trouvé un supermarché de cette chaîne nationale qu’il aimait particulièrement en raison de ses bas prix et de ses employés démotivés, qui avaient souvent tendance à regarder ailleurs lorsqu’il glissait un petit objet dans la poche intérieure de son blouson.

D’un pas lent, presque nonchalant, Omer pénétra le supermarché sous la lumière crue des néons, sans même prendre le temps de rabattre sa capuche sertie de fourrure sur ses épaules. Il avait déjà oublié ce qu’il était venu glaner ici, et se mit à arpenter les allées à la recherche d’un indice qui lui rafraîchirait la mémoire, ou d’une nouvelle inspiration. Un carton de lait dans une main, et deux paquets de chips dans l’autre, Omer avait rapidement dû faire demi-tour pour retourner chercher l’un de ces petits paniers d’un rouge suffisamment intense pour aveugler un bœuf. Des paniers qui donnaient un air inoffensif à quiconque s’en saisissait. Et pourtant, Omer parvenait toujours à se faire contourner par les autres clients, qui lui jetaient un œil inquiet ou tentaient carrément de détourner le regard. Il faut dire qu’il avait peut-être l’air d’un zombie, et que ses reniflements n’auguraient rien de bon.

Lorsqu’au contenu du panier se fut ajouté ce qui pouvait être qualifié d’un pillage du département des surgelés, le descendant viking se rappela de ce qui lui manquait et s’en retourna avec inertie sur ses pas. Il ne lui manquerait qu’un pack de bière et il aurait tout, songea-t-il, en se demandant s’il ne préférait pas prendre l’alcool au marché au coin de chez lui.

D’un côté de l’allée, des dizaines de marques de pain tranché étaient étalées. En face, comme les opposants d’une guerre silencieuse entre les détracteurs des deux types de petit-déjeunes les plus populaires aux États-Unis, les boîtes de céréales leur faisaient face, toutes plus colorées les unes que les autres. L’homme au tatouage de cafard s’avança dans l’allée à la recherche de sa marque favorite. Lorsqu’il aperçut la mascotte sur la boîte rouge, Omer tendit la main en réalisant qu’il s’agissait de la dernière. Une seconde main, qui ne lui appartenait pas, saisit également le carton. En un grognement à peine audible qui signifiait clairement à l’autre de relâcher sa prise s’il ne voulait pas que son nez ne porte le même nom que le capitaine sur l’emballage, le turc leva le regard sur l’homme qu’il n’avait pas vu s’approcher de l’objet de sa convoitise.
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Koda Akira
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Koda Akira
L'esprit des Marais



Lun 15 Fév - 13:38
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Duel céréalier
J'avais passé une très mauvaise semaines, entre mes recherche intensive d'un sorcier ou une sorcière compétente, les créatures du marais qui au final ne c'était pas laisser impressionné autant que je le pensais. J'avais eus beaucoup de mal à m’endormir, cherchant et fouillant parmi tout mes contacte du monde surnaturel un sorcier ou une sorcière. En soit ce n'était pas compliqué à trouver, cependant ils me fallait une personne avec des compétence magique précise, qui sache garder un secret, et qui s'y connaissent en lois. Ce genre de personne était rare, très rare. Et toute les personnes que je connaissais et qui pouvais faire l'affaire était beaucoup trop loin.

Quand au marais, malgré les pièges que j'avais disposé tout autours de ma maison et dans le kilomètre environnement, certaines créatures avaient essayé de pénétrer chez moi. Réveiller au beau milieu de la nuit et de fort mauvaise humeur, j'avais pas toléré cette tentative d'intrusion. J'étais allé récupéré dans ma resserves des sortilège de pistage en bouteille qui une fois ouverte, me mènerais jusqu'aux intrus.

Bouteilles ouverte je suivait la piste des immondes créatures qui avait osé essayé de pénétrer chez mois. Il faisait nuit et noir, aussi je m'étais de la nature environnante grâce à mon pouvoirs afin de ne pas trébucher. Je voyais mes deux cible, le seul problème étant qu'en faite ils étaient 3, je pouvais clairement voir de la ou je me trouvais que c'était des Wendigo. Créature réputé pour leur agressivité sans équivoque, pour leur caractéristique de chasseur hors paire. Je ne devais pas me faire repérer, à trois contre un je n'aurais pas beaucoup de chance de survie. Par chance j'étais dans un marais ce qui augmenté grandement ma puissance en tant que Fairie des plantes. Je fermais les yeux afin de ressentir tout les végétaux environnants. Je ressentais chaque végétaux présent dans la zone, jusqu'aux plantes sous les pied des Wendigos. La nature étais prête à obéir à la moindre de mes volonté, je sortais des fourrés. Immédiatement les Wendigo se retournèrent surpris de me voir sortir ainsi des fourré. À peine avaient-ils sentit mon odeur que de la bavent coulait le long de ce qui semblait être leurs lèvres.

-il me semble que j'ai été suffisamment clément en vous prévenant de ne pas approcher de chez moi ainsi que des sentiers. J'avais disposer quelques piège pour les plus téméraire d'entre vous, mais vous avez dépassé les bornes. Maintenant vous allez mourir et servir d'exemple, vous n'auriez pas du vous attaqué a celui qui contrôle le marais...

Il se regardèrent en échangeant des glapissement écorché avant de chargé en salivant. Ils étaient rapide très rapide, heureusement que j'avais pris mes dispositions quelques minutes avant. Le premier n'avait pas atteint le tiers de la distance qui nous séparé qu'il s'était retrouvé piégé par les racine d'un arbre.  Leu deuxième  n'eut pas le temps d'esquiver l'arbre a sa droite qui lui donnât un « coup de poing ». quand aux troisième, plus gros que les deux précédant, esquivait mes attaque avec beaucoup plus d 'intelligence. Alors qu'il allait m'attaquer, je sautais et fusionnais avec l'arbre derrière moi. J'étais fatigué et énervé par tout ceci, je lançais ensuite mes racine pour attrapé le wendigo et l'étranglé.

Le combat était fini, je me sentait un peux mieux m'étant défoulé. Avant de rentrer chez moi j'arrachais les trois tête des Wendigos afin de les placer sur des piques derrière chez moi afin de dissuadé les prochains intrus qui voudrais venir me rendre visite. Une fois rentré je remarquais que le soleil commençais à se lever. Je prenais une douche et mettais mes plein de sang de wendigo a la poubelle. Je déambulais en boxer dans ma maison me dirigeant vers mon frigos afin de me préparer un bon petit déjeuné. J'ouvrais le frigo et fit la grimace, il était presque vide... Je me dirigeais vers les placard ou je stockais les divers denrée sèches, vide aussi. Entre la fatigue et le stresse, les larmes commençaient à couler le long de mes joues. Je me secouais la tête et m'habillais pour partir faire les courses.Faire les course était l'activité la moins agréable de ma vie mais, résigné, je prenais on petit chariot roulant et me dirigeais vers le supermarché le plus proche.

J'étais arrivé devant le magasin, je prenais une grande inspiration avant d'entrer. Je marchais tout en regardant les divers produits, je prenais quelques truc pour grignoter, du soda, jus de fruit, de la farine ect... j'avais presque fini mes courses, je passais devant un rayon ou il y avait des plantes en promotion. Certaines était en piteuse état , je décidais de les prendre afin de les sauver d'une mort certaines. Je me dirigeais ensuite vers le coins petit déjeuné, il ne me manqué plus que mes céréale et je pouvais retourner au grand aire. Les yeux cerné de fatigue, mes cheveux frisé en bataille, J'attrapais la boite de céréale, je sentais un résistance, je regardais la boite de céréale, il y avait une deuxième main dessus, mais pas à moi. Je suivais du regard cette main inconnus qui me menais ver un jeune homme à la peau légèrement basané, arcade sourcilière marqué, mâchoire carré et nez droit. Plutôt séduisant, il avait un coté mauvais garçon plutôt sexy. Maintenant il fallait que je négocie ce paquet de céréale, en essayé de resté patient bien que celle-ci soit au bord du gouffre. Aussi dis-je avec un peux trop de fatigue dans la voie :

-Euh...excusez moi... il ne reste plus que cette boite ?


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Omer Eriksson
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Mar 23 Fév - 18:47
Koda ₰ Duel Céréalier



- T’en penses quoi ? répondit Omer avec la délicatesse et la diplomatie d’un rhinocéros en rut.

Le mec qui tentait de lui dérober l’une des rares choses qui le raccrochait à son enfance ne lâcha pas immédiatement. Les deux hommes se toisèrent un instant, comme s’ils tentaient de déterminer lequel d’entre eux avait les plus pesantes cernes. Dans une autre vie, ce mec aurait pu plaire à Omer, pour un ou deux soirs. Il avait un charme certain malgré ses yeux bouffis et ses cheveux en bataille. Sauf que le descendant de vikings ne voyait plus les gens de la même manière depuis le départ de Nina​ : le spectre de la séduction ne faisait plus partie des filtres du turcophone. Le voleur de céréales avait donc une bonne tête et cela ne fit que convaincre Omer qu’il devait avoir l’habitude d’avoir tout ce qu’il désirait. Il s’attendait forcément à ce que le turcophone lui abandonne la boîte en se répandant en excuses.

Ça n’était pas près d’arriver. Omer n’était pas du genre à se coucher devant le premier venu, surtout lorsqu’il n’avait rien à perdre. Il était nouveau dans cette ville étrange et pourrait repartir aussi rapidement qu’il était arrivé si les ennuis décidaient de lui tomber dessus. Toutefois, il doutait de devoir en venir aux poings. Pas en plein centre commercial. Pas avec un type de ce genre. Son regard hargneux posé sur celui dont il ne soupçonnait pas la nature réelle, Omer se contenta de tirer brusquement la boîte pour qu’elle glisse hors de l’emprise de l’énergumène. L’effet de surprise lui permit de remporter le butin, qu’il plaça sous son épaule, non sans rappeler un ballon de rugby.

L’humain ne perdit pas de temps pour prendre la direction des caisses. Il n’était pas à plus de trois pas de Koda qu’il grommela pour lui-même​ :

- Tain de bourge.

Sa phrase s’était un peu perdue dans une quinte de toux alors qu’il s’était étouffé avec le mucus.​Comme tout le monde, Omer détestait être malade. Moins communément, il ne changeait rien à sa routine pour autant. Les remèdes pharmaceutiques coûtaient plus de bras qu’il n’en avait, et il n’avait surtout pas envie de s’embêter à calculer des posologies et des temps d’attente entre deux pilules qui, au final, ne le rendraient probablement pas malade moins longtemps. Ça n’était qu’un rhume. Peut-être une grippe. Quelle était la pire chose qui pourrait lui arriver? Une vieille dame lança un regard sévère à Omer, mais eut la présence d’esprit de ne pas lui faire remarquer qu’il aurait pu couvrir sa bouche.

Pris d’une seconde quinte de toux, Omer s’arrêta net avant même d’avoir atteint le bout de l’allée et se cogna le torse de son poing libre. Ça devrait aider à dégager ses poumons, n’est-ce pas?​
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Koda Akira
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Koda Akira
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Dim 21 Mar - 14:58
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Duel céréalier.
C'était la première fois que je me faisais rentrer dedans de cette manière et ce n'était pas très plaisant. J'avais l'habitude du sur respect et du détournement de conversation pour éviter le conflit au Japon. J'avais rencontré quelques gaijins bien sûrs, mais aucun n'avait été aussi rustre. Je les avais même trouvés assez attendrissant en essayant de parler japonais avec un accent bien occidental. Mais jamais, au grand jamais on ne m'avait traité de la sorte.

Nous nous toisions tous deux, j'hésitais à rentrer dans le conflit. Une partie de moi hurler « du sang je veux du sang ! » Quant à l'autre elle me disait « frappé un inconnu dans une ville où tu viens d'arriver ? Très très mauvaise idée ». Je fus tiré de mon conflit intérieur lorsque l'homme pris la boîte de céréales et partit en me traitant de bourge. Je bloquais une deuxième fois, je regardais mon reflet dans une vitre du rayon d'en face. Je ne voyais pas ce qui pouvait faire penser à cet homme que j'étais bourgeois. J'étais quelqu'un de simple et menais une vie modeste, peux être était-ce la politesse dont j'avais fait preuve ?

L'homme avait l'air encore plus mal en points que moi, j'avais du mal à lui en vouloir. Je décidais de rentrais bredouille pour cette fois. Je m'approchais lentement des caisses quand j’entendais à nouveau le chapardeur de céréale tousser. La quinte de toux ne s’arrêtant pas je m'approchai, le jeune homme était en train de se taper sur le torse pour soulagé ça toux. Très mauvaise idée, vue comment sa toux était grasse il devait avoir les bronches bien prise. Je fouillais dans ma poche, j'avais sans doutes quelques huiles qui pouvaient servir. Après quelques secondes je trouvais ce que je cherchais, de l'extrais de thym et d'eucalyptus j'appliquais quelque goûtes sur un mouchoir en tissu et je déposais une toute petite quantité de poussière de fée afin que le produit agisse plus vite. Je m'approchais de l'homme et lui dit :

-Attendez-vous-vous faites plus de mal que de bien à vous taper la poitrine, entre de toux respirez ça, c'est de l'extrait de thym et d’eucalyptus, ça vous permettra de mieux respirer et de stopper la toux le temps que vous repreniez votre respiration. Car franchement mourir étouffé dans une supérette ce n'est pas vraiment la classe...

J'approchais le mouchoir de l'homme, je ne comptais pas vraiment lui laisser le choix. Je sentais qu'il n'avait pas vraiment confiance aussi je lui appliquais moi-même le mouchoir sur le visage prêt à esquiver un éventuel coup de poing. Quand l'homme comprit qu'il arrivait de nouveau à respirer et que je ne lui voulais a priori pas de mal, j’enchaînais :

-évitez de bouger trop brusquement, avec la toux, votre sang a moins d’oxygène et vous risquez de faire un malaise. Avant que vous me le demandiez, non je ne nuis pas médecin, mais j'ai été herboriste avant de venir m'occuper du marais dans cette ville.

Je posais une main sur son torse au niveau des poumons. Je fermais les yeux et essayais de ressentir les vibrations lors de ses respirations. Avec la couche de vêtement c'était difficile, mais vue l'état avancé des symptômes je me doutais qu'il devait laisser traîner cette maladie depuis un moment.

-Il faut vraiment vous soigner avant que ça ne devient vraiment grave. Vos bronches sont très prises, et je suppose que avez aussi eus des monté de fièvres . Courbatures ? Maux de ventres ?

Je ne lui laissais pas vraiment le temps de répondre :

-d'ailleurs, je ressemble vrais à un... comment vous avez dit... un bourge ? Non parce que je vois pas vraiment ce qui aura pu vous faire penser ça... c'est parce que je suis un Gaijin ?

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Omer Eriksson
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Omer Eriksson
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Dim 28 Mar - 16:33
Koda ₰ Duel Céréalier



Omer alternait les grands coups sourds et les raclements de gorge, presque digne d’un renâclement équin, en espérant se soulager de ce mucus qui semblait n’avoir mieux à faire que d’envahir son corps comme des rats sur un navire. S’il était trop occupé avec son traitement personnel pour afficher sa surprise en revoyant le mec des céréales pénétrer son champ de vision, Omer n’en grogna pas moins. Si c’était encore pour ces stupides céréales, il allait rencontrer le poing du New-Yorkais. D’un regard, le turc vérifia que la sécurité n’accompagnait pas le jeune homme, sans écouter réellement attentivement ce que lui disait l’homme. Omer avait trouvé la boîte le premier, et il voulait profiter du rabais. L’autre n’avait qu’à se trouver une autre marque en soldes. Sauf que la tirade s’éternisait, et Omer n’eut pas d’autre choix que d’y porter attention.

Le bourge venait de le menacer de l’étrangler en plein milieu de l’allée ou quoi? Omer n’eut pas le temps de faire autre chose que de froncer des sourcils agacés qu’un mouchoir vint lui barrer le visage. Ce type était barge! La menace de mort par étouffement trop fraîche dans sa tête, le pugiliste amateur laissa tomber son panier au sol, certain qu’il était en train de se faire chloroformer. Un son clair et typique indiqua que l’un des sacs de chips s’était ouvert sous le poids du lait ou des surgelés. Heureusement qu’il n’avait toujours pas pris la bière. La main libérée se pistonna aussi dans la direction de l’enquiquineur, pour n’heurter que le vide. Il fallait dire pour sa défense que Omer n’était pas au sommet de sa forme. Impossible que l’autre drogueur ait pu prévoir son geste, évidemment.

Énervé comme un buffle, Omer prit une profonde inspiration avant d’abattre à nouveau son poing vers l’inconnu. Cette fois, par contre, son geste fut avorté instantanément, et le brun n’eut pas besoin d’esquiver à nouveau. Venait-il de prendre une profonde inspiration? Dans le genre dont il avait oublié la possibilité, voire même l’existence. Un regard suspicieux au-dessus du mouchoir, il glissa sa main sous celle de Koda pour s’en saisir lui-même et, du coude, repoussa le bras de cet étrange homme. Il n’avait pas besoin de la main d’un petit fendant dans son visage. Cette fois-ci, il écouta le conseil du garçon. Lui recommandait-il de bouger de manière moins brusque en raison de ce dernier mouvement de contrôle et de rejet?

Omer n’en avait rien à faire du boulot du mec. Il n’avait même pas songé qu’il s’agissait d’un médecin ou d’autre chose qu’un enquiquineur. Le terme herboriste ne lui faisait toutefois pas le meilleur des effets. On dirait un truc un peu trop hippie. Ce mec était donc réellement dealer? Et pourquoi lui parlait-il du marais? C’était on ne pouvait plus étrange. Que pouvait-il donc y avoir à faire dans un marécage, outre se faire attaquer par des maringouins? Les interrogations confuses prirent rapidement fin alors qu’elles étaient évacuées de l’esprit de l’humain. Pour qui se prenait cet intrus qui lui touchait le poitrail comme s’ils avaient été potes de sport dans une autre vie. D’un geste violent qui ne manqua pas de provoquer quelques toussotements, Omer repoussa l’épaule de l’intrus qui abusait un peu trop de son statut de soigneur temporaire.

- Pousse pas ta chance, menaca-t-il d’un ton hargneux.

L’autre lui parlait de symptômes et d’autres trucs de gamins et de meufs. Omer n’était pas du genre à se plaindre, et définitivement pas d’une petite douleur passagère. Il avait connu et subi pire et il passerait au travers cette grippe-ci comme des autres.

- Nah.

Persuadé que cette réponse négative n’était pas un mensonge, Omer ne sentit pas le besoin d’ajouter qu’il n’était pas une chochotte. C’était assez évident dès qu’on l’observait un peu, après tout, et le viking avait toujours été avare de mots. Quant au conseil de se soigner, cela impliquait d’aller voir un médecin, et ce n’était pas réellement dans le budget de celui qui n’était pas économe de ses sous. Oblitérant les questions sur l’apparence de l’homme, Omer surenchérit.

- Et c’toi qui va m’payer l’hosto?

S’il avait traité Koda de bourge, c’était que c’était l’impression qu’Omer avait de lui, et il n’avait rien ajouter à ce sujet. Il y avait des choses qui transpirait dans l’attitude et l’apparence des gens. Des indices cachés entre deux détails, qui trahissaient certaines appartenances. Certes, cela pouvait être trompeur, mais Omer n’était pas du genre à s’enfarger dans les fleurs du tapis, ni à se remettre en question : il avait catégorisé l’étrange homme et ne reviendrait pas sur son jugement sauf s’il en était forcé.

- J’men balek de la sorte de gai que t’es. Omer avait la perspicacité d'une taupe borgne. Et une totale méconnaissance des plus élémentaires aspects de la culture nipponne.

Non, mais sérieux, là. Omer avait vu sa part de mecs qui s’identifiaient de toutes sortes de manières – ou pas du tout d’ailleurs – mais c’était la première fois qu’il entendait parler de Djinn gay. C’était un genre de génie de l’homosexualité ? Il réalisait les souhaits de ses partenaires ? Ça n’était pas sans évoquer le terme péjoratif de fairy, assez étrangement, et qui ne correspondait pas à l’image que renvoyait le duelliste des céréales. L’autre option siérait mieux à Omer qu’à son intrus du moment : un homosexuel moyen-oriental. Et puis pourquoi articuler autant le i, comme s’il y avait des trémas
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Koda Akira
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Dim 1 Aoû - 14:01
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Je ne comprenais pas pourquoi il me parlais d’hôpital alors que je lui avait proposé mes services. Je n'avais peut êtres pas été assez claire, au japon les demande était souvent détourné il fallait lire entre les ligne. Ce jeune homme était plus un buffle enrager qui ne cherchais pas à comprendre. Aussi je décider de me faire mieux comprendre, afin de dissiper ce premier malentendu. :

-enfaîte je ne vous proposer pas d'aller à l’hôpital, je vous proposer de vous aider j'ai étudier la médecine et comme vous avez pu le constater, je sais ce que je fait. Vous arrivez mieux à respirer et c'est pas pour rien. Je vous propose juste un diagnostique et un traitement  sur quelque jours.

J’espérais que le jeune homme accepte. Il avait vraiment l'aire en piteuse état et je craignais des complication si il ne faisait rien pour amélioré son état.

-écoutez, dans tout les cas vous n'avez rien à perdre. Et clairement vue votre carrure vous n'auriez aucun mal a me mettre KO.... après c'est a vous de choisir, mais sachez que si vous ne faite rien, vous risquez des séquelles respiratoire importante vue votre état.

Je laissez le jeune homme digérer et assimiler ce que je venais de lui dire. Si il voulais aller mieux, et éviter de future problème il faudrait qu'il fasse un choix. Je tenais aussi à clarifier un autre point. Car n'étant pas natif américain mais japonais, je n'avais pas un vocabulaire parfait et il m'arrivait assez souvent d'utiliser des mots japonais dans mes phrases quand les mots me manquaient. J'avais utiliser le mot Gaïjin, un mot signifiant étranger pour parlé de mois, mais mon interlocuteur pas forcément très malin pensais que je parlais de mon orientation sexuel. Je tenais donc à clarifier ce point car mon orientation sexuelle ne regardait que moi et mes partenaires.

-et en ce qui concerne le mot « Gaïjin », c'est un mot japonais qui signifie « étranger » si je ne me trompe pas dans votre langue. Rien a voir avec mon orientation sexuelle qui ne regarde que moi. Sans vouloir vous vexer bien sure.

Une fois tout expliqué, j'attendais et observais les réaction et réponse de mon interlocuteur plutôt mal en point. Cette rencontre loin d'être prévus, avait finis par bien me réveiller et mettre tout mes sens en alerte. J'éprouvais cependant un certain malaise dans se magasin loin de ma foret et de la nature. J'avais totalement oublier que je devais finir mes couses.

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Ven 3 Sep - 22:50
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Toujours aussi tendu, et parcourut du frisson aventureux, Omer fixait son vis-à-vis de son air toujours aussi sombre. Un mouvement infime du sourcil indiqua que l’information ne tombait pas dans l’oreille d’un sourd. Le mec avait raison, et c’était le pire : la respiration d’Omer se faisait plus aisée depuis l’intervention du bourge. Redressant l’échine, l’ouvrier changea de posture et, baissant ses gardes, croisa ses bras sur son torse, sans déposer ni relâcher sa prise sur son petit panier ridicule.

- Combien tu vas m’charger? coupa-t-il la parole de l’herboriste enquiquineur. Les paroles du gaïjin prirent doucement le temps de faire leur place dans l’esprit affecté du videur, qui ricana méchamment. Et il s’étouffa dans ses mucosités. Ce n’était définitivement pas son jour le plus glorieux.
- J’vais pas t’frapper en pleine supérette. J’suis malade, pas débile.

Venait-il de l’admettre à voix haute? Tout le monde faisait des erreurs. Il pourrait mettre celle-ci sur le compte de son cerveau congestionné et de ses bronches lourdes.  D’ailleurs, à ce sujet, il était sérieux avec ses conséquences respiratoires sévères ou bluffait-il, rien que pour avoir l’attention – et l’argent – du malade? Omer posa son regard sombre dans celui du nippon, tendant de voir si ce mec était sincère, et donc aussi naïvement gentil qu’il n’y paraissait, ou s’il ne se fichait pas de sa gueule, ou encore tentait de profiter de son état. Il décida de faire un pas vers les caisses, ses bras retombants mollement, et douloureusement, de chaque côté de lui.

- Serseri, siffla-t-il entre ses dents alors que l’énergumène lui faisait la leçon. Ça tenait certainement excessivement plus sous le sens que les théories chambranlantes du turc. Plutôt que d’admettre son tort, le brun se renfrognait de nouveau.
- J’me vexe si j’en ai envie.

C’était le ton le plus près d’un semblant de sympathie qu’il était prêt à offrir à l’entremetteur, pour l’instant. Sa curiosité était néanmoins également piquée, et il accepta, à rebrousse-poil, de faire un effort pour celui qui, au final, tolérait ses humeurs depuis tout à l’heure.

- J’suis aussi étranger.

Sa mère l’était. Pouvait-il considérer qu’il l’était également, par ce truchement? Non. Toutefois, comme la société semblait croire que ce raccourci était permissible, il aurait bien fallu être fou pour tenir rigueur au bagarreur en ce moment. Il leva la main pour se présenter. Le miasme qui qui lui servait présentement de système nerveux ne parvenant plus à se remémorer si ils l’avaient déjà fait, ou non, Omer jugea que c’était préférable d’agir ainsi. De toute manière, même si le japonais s’était présenté, le turc avait déjà oublié son nom.

- C’est bon, doc. J’vais te suivre. Il inspira avec effort avant de poursuivre, d'une voix hachée.
-Moi c’est Omer.
-J’sais, t’es pas docteur, doc.


Le regard embrumé du dernier citoyen arrivé en ville se déposa sur sa main. Au bout d’un court moment, il réalisa qu’elle ne devait pas être très invitante, et il la ramena à lui. Il hésita à offrir les Captain Crunch en guise de dédommagement, mais se dirigea finalement aux caisses pour payer. Le plus tôt il sortirait d’ici, le plus tôt l’herboriste s’occuperait de lui et il pourrait retourner à ses propres herbes médicinales.
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Dim 27 Fév - 11:22
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Duel céréalier.
Non sans peine j'avais enfin réussi à convaincre le jeune homme de se laisser soigner. Il se présentât sous le nom d'Omer, prénom que je n'avais jamais entendue avant et que je trouver fort original. Il était lui aussi étranger, par respect je ne lui demandais pas d’où, d'autant plus que pour mois tout les non japonais se ressemblais plus ou moins.  J'essayais de retenir c'est trait physique, peau légèrement mat cheveux noir comme les japonais mais en moins lisse. Il était peut être français, ils étaient réputés pour dire ce qu'ils pensent et à être un peux brut... quoi que romantique, et Omer n'avait pas vraiment l'aire romantique. Cette question restait pour le moment sans réponse.

Ça respirations m'inquiétais, il avait les bronche très prise, le risque que ça maladie évolue et se transforme en pneumonie était réel. Sans compté sur toutes les autres infections et maladies possible que pouvais choper des poumons mal soignés. Je n'avais pas envie de voir un jours dans le journal « le jeune Omer mort à cause d'une bronchite mal soignée qui à évoluer en pneumonie. Décédé dans d'atroce souffrance suite à un pneumothorax », Cars si il ne se faisait pas soigner, cela pourrais entraîner éventuellement sa mort et bien que nous ayons mal commencé, je ne pouvais le laisser dans cette état.

Une fois les courses réglé je pris légèrement le lead de la marche afin de le conduire chez moi. J’espérais que le marais ne lui ferais pas trop peur, fort heureusement ma maison n'était pas dans les profondeur de celui ci. Mais vue la réputation qu'avait cet endroit j'espérais qu'il ne prenne pas peur,dans tout les cas je me doutais que si peur il y avait, il ne montrerais rien. Alors que nous marchions dans un silence de mort, je me demander comment briser la glace. Je ne voulais pas l’énerver ou le vexer, non par peur car en tant que Fairies j'aurais largement le dessus sur lui dans un combat, mais plutôt pour éviter d'envenimé notre relation. Il fallait donc que je trouve un sujet, pas trop ennuyant, qui ne risque pas de le blesser et auquel il voudrais bien répondre.

Toutes ces réflexion me donnais mal à la tête, au japon nous n'avions pas besoins d'autant réfléchir on prenais le chemins le plus long et le plus respectueux. Tout ce qu'Omer semblait détester... au final je penchais pour une questions plutôt bateau qui selon moi ne risquais pas de la blesser. Alors que nous approchions doucement de chez moi je lui lançais :

-Du coup ça fait longtemps que tu as emménager à Mystown ?

Plus nous nous rapprochions du marais et mieux je me sentais, ma peau reprenais doucement des couleur et ma fatigue s’atténuait. Je remarquais alors qu'Omer était en bien piteuse état
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Omer Eriksson
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Jeu 10 Mar - 21:59
Koda ₰ Duel Céréalier



De raclements de gorge à quinte de toux, Omer suivait tant bien que mal la conversation. Il renâclait, et mouchait, comme un gamin d’à peine quelques dizaines de mois. Il jurait également, ce qui trahissait davantage ses quelques dizaines d’années. L’herboriste passa à la caisse devant Omer, que l’entremetteur attendit le temps de régler. Sans voir la grimace de l’employée qui, semblerait-il, aurait préféré un paiement par carte, Omer saisit les piécettes qui lui étaient rendus et les glissa dans la poche de son jeans.

Loin de se douter de la complexité des pensées de son soigneur, ou de n’importe qui d’autre pour être transparent, Omer suivait celui-ci les mains dans les poches de son blouson, le dos voûté. Cela ne lui ressemblait guère, mais il n’avait pas l’habitude de la maladie, et se demandait présentement s’il ne devrait pas commencer à songer à s’extraire le cou pour mettre fin à ses souffrances. Le problème étant ensuite de respirer, il repoussa l’idée comme elle était venue. Il lui semblait que le bon samaritain freinait son allure pour l’accommoder, alors que le bagarreur n’en était pas moins à bout de souffle.

Ses sacs de courses pendant au bout de ses bras affaiblis, Omer observait le paysage urbain changer rapidement, s’effaçant pour laisser sa place à ce qu’il ne pouvait que considérer un coin de verdure, au vu de son expérience personnelle avec la nature. Le silence installé confortablement entre les marcheurs, relatif en raison de l’état de santé du descendant turc, ne l’importunait aucunement. Le vert du paysage tirait de plus en plus sur le marron et le glauque, alors que les joncs et les roseaux apparaissaient entre des arbres de plus en plus épars.

Un frisson sembla traverser Omer en entendant la voix de son guide interrompre ses observations.
–Non, répondit-il sans prendre le temps d’y réfléchir. Il cracha quelques sécrétions qui avaient décidé de se loger au fond de sa gorge, en prenant soin de détourner la tête dans la direction opposée à son médecin. Il lui fallut un instant supplémentaire pour formuler une question en retour. Question qu’il semblait s’efforcer de demander, comme si cette politesse lui brûlait l’âme.
–Et toi ?

Son expectoration effectuée, le turcophone sembla respirer un peu mieux – pour le moment du moins- et changea sa prise sur les sachets qu’il transportait. Le pack de bière avait commencé à couper la circulation sanguine dans ses doigts. Il jeta un regard au jeune homme qui marchait avec lui : celui-ci semblait vaguement différent. Peut-être était-ce l’éclairage des allées qui ne rendaient pas justice à l’habitant des marais. Ou peut-être était-ce la fièvre qui le faisait délirer.

Un court instant, Omer se demanda s’il n’était pas entraîné dans ce coin sordide dans un but non avouable, mais chassa une fois de plus cette pensée : il y avait autour du supermarché des endroits bien moins distants et davantage appropriés pour dépecer un jeune homme dans la force de l’âge, à défaut d’être au sommet de sa forme. La seule conclusion possible était donc que l’importun comptait réellement l’aider.

–T’habites ici? croassa soudainement Omer en regardant à la ronde pour désigner l'environnement inhabituel. La surprise dans sa voix venait sans peine dissimuler la présence de toute approbation dans celle-ci.  

Omer devait avouer qu’il était possible qu’il se soit tromper à l’égard de l’étranger : ce n’était potentiellement pas un bourge, ou pas totalement.  Il réalisa également ne pas connaître le nom de son bon docteur, mais ça n’était qu’un détail : ils ne risquaient pas de se revoir, et doc était une appellation que le videur trouvait entièrement convenable.
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Koda Akira
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Koda Akira
L'esprit des Marais



Mar 31 Mai - 20:39
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Duel céréalier.
Omer répondit d'un simple non, sans plus de détaille avant de me retourné ma question .

-ça doit faire un mois et demie, presque deux. C'est tout récent.

Alors que nous arrivions devant chez moi, mon accompagnateur semblait surpris et me demandais si j'habitais vraiment ici.

-oui, c'est  mon chez moi. Je suis le garde forestier, je veille à ce que personne n'aille se promener dans le marais. Je m'occupe aussi des animaux blesser, des arbres malades. A coté ayant une très bonne connaissance des plantes et de leurs effets, et ayant suivis une formation d'herboriste, je fait des remède pour aider les gens.

J'ouvrais ma porte avant de rentrer. J'invitais Omer à rentrer dévoilant mon intérieur. Ma maison ne payais pas de mine vue de l'extérieur, mais une fois a l'intérieur, même si l'ambiance était très rustique, elle n'en resté pas moins très élégamment décoré.

L'entrée donnait sur un grand salon, tout les meuble était en chêne ou en acajou. Les murs couleur crème donnait un coté très cocooning. Il y avait dans un salon une vielle cheminé et en face un canapé et deux fauteuil. Une grande table pour mangé et près de chaque fenêtres il y avait des plante en pot en train de s'épanouir.

- Bienvenu dans mon petit cocon, je vais te faire visité, donc la nous somme dans le salon, d'ailleurs si ça ne te gène pas je te  demanderais de quitter tes chaussures.

Une fois que j'eus moi même quitté les mienne, je guidais mon invité. Une fois passé le salon, j'avais un grand couloir, je luis montrais la cuisine, la chambre d'amis, la salle de bain. Tout étais rustique chez moi, une maison typique d'homme des foret. Nous arrivions dans la salle de soins :

-Voici la salle de soins, c'est la ou je concocte mes remède et ou je soigne mes pensionnaires.

La salle faisait une vingtaines de m², le long des murs était couvert d'étagère avec des bocaux dessus. Au centre de la pièce se trouver une table d'examen comme on pouvais trouver chez n'importe qu'elle médecin. On pouvais aussi observer un établie avec un petit évier sur lequel je préparais mes remède. La lumière y était douce, presque tamisé pour évité de faire peur au animaux que je soigner, mais aussi pour le confort de certaines créatures de la nuit.

-Je te laisse t'installer et enlever ton manteau afin que je puisse d'examiner correctement. Ça ne devrais pas prendre longtemps, tu verra, tu sera sur pied en un rien de temps !

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Lun 13 Juin - 15:36
Koda ₰ Duel Céréalier



Le soignant était donc également un bleu, dans cette ville. Si Omer avait été un tant soit peu davantage philosophe, il aurait probablement permis à son esprit de s’égarer à s’interroger sur ce qui attirait les étrangers ensembles. Comment se faisait-il que les nouveaux arrivants, par quelques jeux du destin ou tours du hasard, finissaient plus souvent qu’autrement par se retrouver entre eux, au début du moins? Certes, il y avait bien des raisons administratives, et parfois organisationnelles à ce phénomène, mais dans le cas présent, on partait simplement d’une course pour une boîte de céréales. Rien de transcendant, certes, mais définitivement rien de formel non plus.

L’explication suivante du bourge; pardon : du gaijin, sur l’emplacement de sa résidence et de son occupation hors-norme valut au fairy un regard scrutateur. Il n’envoyait pas du tout l’image à laquelle Omer se serait attendue d’un mec qui vivait au milieu d’un marécage, et avait pour tâche d’en prendre soin. Le turcophone se serait davantage attendu à quelqu’un un peu comme lui, mais en moins charismatique. À vrai dire, Omer partait souvent du portrait de gens comme lui lorsqu’il s’imaginait d’autres vies que la sienne. Peut-être à force d’avoir trop longtemps côtoyer de la racaille s’était-il fait à l’idée qu’il existait deux types de personnes : ladite racaille, et Nina, son ange salvateur.

- Y’a des braconniers ? s’entendit-il demander avant de perdre la voix en une quinte de toux nouvelle.

Il s’en fichait un peu, mais c’était une information qui pourrait toujours lui devenir utile malgré tout. Ensuite : que pouvait-il réellement y avoir d’intéressant à traquer dans un marais? À moins de faire partie de ces gens étrange qui mangent des batraciens, Omer était persuadé que personne ne saurait trouver son bonheur ici. Son ignorance, encore une fois, masquait sa vision du monde, lui donnant l’illusion que les milieux humides étaient des environnements stériles, et non des écosystèmes complexes et sains, pullulants de vie.

L’étrange duo pénétra dans la masure qui, de l’intérieur, en jetait. Le regard las d’Omer passa lentement sur le mobilier, les boiseries, et la décoration. Son œil expérimenté pouvait lui donner une idée de la qualité de la construction – outre quelques détails insignifiants, ça lui semblait tout à fait dans les normes, et peut-être bien mieux, même – alors qu’il tournait le cou dans un sens, puis dans l’autre, appréciateur.  S’il n’était pas décorateur dans l’âme, il pouvait tout de même reconnaître le goût et l’attention du détail que Doc avait mis à ce niveau également. Même Nina aurait pu en être impressionnée. Sans commenter sur la rareté d’un homme qui prenait la peine de faire de l’aménagement, et y était talentueux en plus, pour ne pas offenser à nouveau son soignant, Omer ne sut toutefois s’empêcher de repenser à ce malentendu sur les Djinns. Un sourire un peu goguenard aux lèvres, il renâcla à nouveau.

- C’est pas moche, commenta-t-il simplement.

Suite à cet énorme compliment, Omer retira ses godasses en prenant soin de les laisser sur la carpette, preuve s’il en est une qu’il avait non seulement eu une mère, mais se rappelait aussi l’éducation que celle-ci lui avait donnée. Traînant les pieds, autant que son regard, le New-Yorkais suivit le nippon dans la présentation de la maison. Il toquait parfois sur un pan de mur, pour voir, ou observait le châssis d’une fenêtre pendant un instant. Effronté, il poussa même l’audace à ouvrir l’un des cabinets de la cuisine, non pas pour en observer le contenu, mais pour en juger de la facture.

La visite se termina dans le petit dispensaire-laboratoire, une grande pièce qui semblait organisée efficacement. Cette fois, Omer n’osa rien toucher, des bocaux aux herbes suspendues qui séchaient également de-ci de-là. Mécaniquement, il alla prendre place sur la table d’examen, se hissant de dos pour s’y asseoir, et suivant l’instruction de Koda ainsi que son expérience – limitée – des visites chez le médecin, retira sa veste qu’il déposa à côté de lui, avant de faire de même avec son t-shirt. Si le soignant devait l’ausculter, c’était ainsi que cela fonctionnait, n’est-ce pas? Réprimant un frisson, Omer toussa néanmoins dans son poing avant de prendre la parole.

- Mmmh, Doc ?

L’idée saugrenue de s’excuser pour avoir traité son sauveur de bourge traversa l’esprit d’Omer. Ce devait être un accès de fièvre, ou un truc du genre, qui lui suggérait de telles folies. Pragmatique, Omer offrit plutôt autre chose : un service en attirait un autre, comme on le dit si bien. Il poursuivit donc, suivant de son regard cerné les gestes de son hôte.

- Si qu’t’as besoin de faire des travaux ou réparer un truc chez toi, tu m’diras. J’suis ouvrier, j’bosse bien et j’te devrai bien ça.

Omer sourit avec orgueil à l’herboriste, affichant un air aussi assuré que son état de santé pouvait le lui permettre dans ces circonstances.
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