Le Deal du moment : -20%
-20% Récupérateur à eau mural 300 ...
Voir le deal
79 €

 :: Mystown :: Quartiers résidentiels :: Dream City :: Appartement d'Eriksson Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Le Nouveau Départ
Omer Eriksson
Date d'inscription : 29/01/2021
Messages : 44
ft. : Kostja Ullmann
Crédits : Gilvert

Feuille de personnage

Disponibilité RP
: Non Libre
Omer Eriksson
Citoyen de Mystown



Sam 16 Juil - 1:59
Jake ₰ Le Nouveau Départ


Dans les vapes, Omer s’était levé au milieu de la nuit pour rejoindre son lit. Il avait également pris un cachet au passage. Lorsqu’il se réveilla, quelques heures de ronflements plus tard, l’ouvrier sentit bien que c’était le lendemain de la veille. Une veille qui avait duré plus de vingt-quatre heures, qui plus était. Amorphe, il tourna sur lui-même à quelques reprises, les draps sous lui marquant les traces de son impatience. Lorsqu’il n’y tint pus, il ouvrit les yeux sans voir le soleil fort qui paraissait à travers les rideaux miteux de l’appartement, et se dirigea d’un pas traînant vers la salle de bain, sans dévier de sa trajectoire.

Ce n’est qu’au moment où il en ressortit ou, plus précisément, où il traversa le salon dans la direction opposée, que Omer remarqua la présence de deux tasses, dont une encore pleine de café devenu froid, dans le salon. Il fronça les sourcils un court instant, avant de se souvenir de la venue d’un visiteur et collègue, ainsi que de la promesse qu’ils s’étaient faites. Enfin : que Omer avait principalement faite à Nina. Poursuivant son chemin, il laissa tomber la serviette à sa taille sur le sol de la chambre, pour récupérer des vêtements sur une pile et les enfiler aussitôt.

Le turcophone n’avait aucune idée de l’heure qu’il pouvait bien être, mais une chose était certaine : il n’était jamais trop tôt pour un café. Son appartement étant dépourvu de four micro-ondes, il se contenta d’avaler le contenu tiède qu’il avait offert à Jake, en piochant son petit-déj à même une boîte de Captain Crunch. La batterie de son portable semblait avoir rendu l’âme durant sa virée, et il avait bien la flemme de se relever pour la charger. Le videur savait que Maniglio devrait passer, et il comptait sur celui-ci pour lui donner une appréciation du temps écoulé.  Ce n’est qu’au bout d’une vingtaine de minutes qu’Omer réalisa que s’il devait donner une adresse au barman où le conduire, il devrait connaître ladite adresse. Ergo, il devrait charger son portable.

Enfin décidé à lever son derche du canapé, il alla d’abord porter les deux tasses à la cuisine, sans se soucier des cernes au fond et sur les côtés de celles-ci, avant de retourner à sa chambre. Il trouva sans trop de mal le fil du chargeur et se laissa tomber sur son lit. Le téléphone fut rallumé et quelques minutes plus tard Omer surfait sur la page officielle réservée aux addicts de Mystown. Il en lut l’heure et l’adresse en trois reprises, ses yeux s’éteignant seuls, avant de se laisser sombrer à la somnolence, assis sur son lit, en jeans et sa veste sur le dos.
©clever love.
Revenir en haut Aller en bas
Jake Maniglio
Le Nouveau Départ Kll7
Date d'inscription : 30/06/2018
Messages : 62
Pseudo : Iskaras
ft. : Milo Ventimiglia
Crédits : Twizzle
Jake Maniglio
Fondateur



Dim 17 Juil - 11:49

La journée semblait être passer à une vitesse. C’était une saison touristique justement, et les clients s’enchainaient non stop, n’accordant aucun répits au lycanthrope si ce n’était à la fin de son service. Mais alors qu’il devait être occuper à remplir et nettoyer des verres, le garou italien ne pouvait s’empêcher de penser à Omer. La veille, il l’avait retrouver dans un piteux état, complétement défoncer. Et malgré cela, l’humain d’origine turc lui avait promit de se reprendre en main avec l’aide du garou. Fort heureusement, leur patron n’avait décider de le virer, mais on sentait que l’humain était sur le fil. Que sa chance risquait de toucher au bout pour une autre erreur.

Il ne connaissait pas bien Omer, mais Maniglio se refusait de le laisser tomber. Ils n’étaient pas amis pourtant, juste collègue. Pourtant, le barman éprouvait de la compassion pour lui. Eriksson semblait être quelqu’un ayant besoin d’aide et Jake voulait la lui donner. Se trompait-il ? Allait-il au devant de gros ennuis, de déception ou d’une vérité qu’il n’aurait pas supposer ? Peut-être, mais il prenait le risque tout de même. Il préférait être déçus à la fin qu’ignorer quelqu’un qui aurait put avoir réellement besoin de son secours.

Quand son service fut terminé, Jake récupéra ses affaires et se rendit directement chez Omer. Il lui avait donner sa parole de l’accompagner et il comptait bien la respecter. Il retrouva alors le même immeuble dans le quartier le plus inquiétant de la ville, ainsi que le même appartement crasseux qui respectait la décoration du quartier. Tout ce qu’il espérait, c’est qu’entre temps Omer n’est pas changer d’avis. Qu’il lui dise « J’étais défoncer et pas sérieux alors je bouge pas ! » Sinon, Maniglio se verrait dans l’obligation de le trainer à son rendez-vous pas la peau des fesses quitte à les botter s’il le fallait. Alors il toqua, attendant qu’on vienne lui ouvrir.

"Salut. Ca va mieux ?" S’enquit-il quand il voyait Omer lui ouvrir. Il avait encore une triste mine, sans doute ayant mal dormi ou pas fermer l’œil du tout. Il avait encore le teint pâle, et on croirait presque que ses cernes ont aussi des cernes, c’était inquiétant.

Jake en profita pour regarder vite fait dans l’appartement. Rien n’avait changer depuis son départ, retrouvant chaque chose à sa place comme à la veille.

"T’es prêt ?"

Pas le temps de prendre un petit déjeuner ou autre, il fallait être à l’heure et Maniglio ne comptait pas perdre de temps ainsi empêcher tout facteur pouvant survenir qui dérouterait Omer de son objectif promit la veille.
Revenir en haut Aller en bas
Omer Eriksson
Date d'inscription : 29/01/2021
Messages : 44
ft. : Kostja Ullmann
Crédits : Gilvert

Feuille de personnage

Disponibilité RP
: Non Libre
Omer Eriksson
Citoyen de Mystown



Jeu 28 Juil - 1:54
Jake ₰ Le Nouveau Départ


Omer sursauta aux coups sur la planche de bois vermoulu qu’était sa porte.  Sans empressement, il se releva, ajustant au passage les pans de sa veste sur ses épaules, et se dirigea vers la porte derrière laquelle il espérait que ce soit son collègue, et non pas un flic, ni cette voisine qui venait toujours le déranger pour savoir s’il avait, encore une fois, vu son chat fugueur. 
 
Omer passa un bras par l’entrebâillement de la porte, l’autre appuyé contre celle-ci, et attira Jake à l’intérieur, en une accolade digne de vieux amis. Cette fois, il ne lui offrit pas de café. Non pas par rancune ou parce qu’il se souvenait que l’italien l’avait refusé la veille, mais parce qu’il n’y avait simplement pas pensé.  Il laissa respirer le lycanthrope en faisant un pas de recul.

 « Ouais, toi ? »

Là où le commun des mortels se serait efforcé de sourire pour ajouter du poids à ses propos, Omer n’en fit rien. Il alla plutôt chercher une paire de chaussettes qu’il s’affaira à passer sur ses pieds. Il vérifia l’heure sur son portable, et en déverrouilla l’écran pour vérifier une fois de plus l’heure à laquelle la réunion aurait lieu. Ça ne leur laissait pas trop de temps, et Omer transmit l’information au barman sobre. Sans faire de cas sur le regard inquisiteur balayé par le tempérant.
"T’es prêt ?"
« Toilettes. »


Omer fit un geste confus de la main alors qu’il se dirigeait déjà vers la salle d’eau. Moins d’une minute plus tard, il fermait les robinets et essuyait ses mains sur son t-shirt. Il chercha un instant ses clés, qu’il trouva près de la cafetière, et héla son comparse en le fixant du regard.

« T’veux une bière pour la route? »

La réponse de Jake ne se fit pas sitôt entendre qu’Omer éclatait de rire en revenant dans le salon, les mains exemptes d’alcool. Il tapa l’épaule de son collègue, hilare : la tête que Maniglio avait tirée!

« Faut apprendre à rigoler, mon pote », commenta-t-il avec toute la sagesse qu’il ne possédait pas réellement, avant de sortir, Jake devant lui.

Il verrouilla la porte de son appartement en hoquetant toujours de rire. Ce n’est qu’au bas de l’escalier qu’il retrouva subitement son sérieux. Un sérieux qui ne lui était pas naturel, presque grave sans être menaçant.

« J’sais pas si qu’tu pourras entrer. »

Ce n’était qu’une observation, qui ne trahissait pas réellement les pensées sous-jacentes du videur, ni les questions qu’il se posait à ce moment, sans qu’elles n’osent lui brûler les lèvres. Il présumait simplement que le bon samaritain l’attendrait patiemment jusqu’à la sortie de la réunion, pour le ramener chez lui.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers: